10 de noviembre de 2013

Los negroafricanos perseguidos por todos los rincones de la tierra


Los supervivientes han declarado a los magistrados que la red de tráfico de personas para la que trabajaba el detenido les interceptó cerca de Sheba, al sur de Libia, y amenazándoles con armas se los llevaron en un vehículo.

Un somalí de 24 años, acusado de organizar el viaje a la isla de Lampedusa que terminó en naufragio el pasado 3 de octubre y en el que perdieron la vida 366 inmigrantes, ha sido detenido, informó este viernes la Policía italiana.


Samedi soir, deux personnes dont un Saoudien ont été tuées et 68 blessées lors d'affrontements dans le quartier de Manfouha, où se concentrent des immigrés originaires notamment de la Corne de l'Afrique, surtout des Ethiopiens, selon une source officielle.

Ces violences étaient les premières depuis que les autorités ont commencé à expulser les clandestins après l'expiration le 4 novembre du délai de sept mois fixé pour qu'ils régularisent leur situation ou quittent le riche royaume pétrolier.


 


 

 

Au Brésil, être afro-descendant rime en général avec classe sociale modeste, pauvreté, accès limité à l'éducation. C'est pour pallier ces inégalités sociales - héritées de l'esclavage aboli en 1888 - que le gouvernement de Dilma Rousseff propose de mettre en place des quotas obligatoires pour les Noirs et les métis dans la sphère politique mais aussi dans la fonction publique. Déjà, en août 2012, une telle mesure avait été adoptée dans les universités brésiliennes et 20% des inscriptions sont désormais réservées aux personnes de couleur. Approuvé par une commission de la Chambre des députés, le projet de loi actuel prévoit qu'au moins la même proportion en sièges soit octroyée aux afro-descendants au Congrès et dans les Assemblées législatives de chaque État fédéré. Si la loi est adoptée, le quota concernerait même jusqu'à deux tiers des députés, soit 173 sur 513.

http://www.jeuneafrique.com/Article/ARTJAWEB20131108145555/pauvrete-bresil-esclavage-diversite-diversite-bresil-plus-de-noirs-en-politique.html

 

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